
Qui Est Le Mari De Eugénie Bastié – Eugénie Bastié est une figure incontournable du paysage médiatique français, connue pour ses analyses percutantes et son franc-parler. Cependant, derrière cette personnalité publique se cache une vie privée jalousement préservée, notamment en ce qui concerne son mari. Dans cet article, nous allons lever le voile sur l’homme qui partage la vie de la célèbre journaliste et explorer leur relation discrète mais solide.
Une relation amoureuse bien gardée
Bien qu’Eugénie Bastié soit une célébrité médiatique, elle a toujours été très protectrice de son intimité conjugale. Les détails sur son mari sont rares, témoignant de leur volonté de préserver leur vie de couple loin des projecteurs. Cependant, certains indices laissent entrevoir une histoire d’amour solide et épanouie.
Un compagnon de vie discret mais présent
Malgré le mystère entourant son identité, le mari d’Eugénie Bastié est décrit comme un homme aimant et présent. Il a su être un soutien indéfectible pour sa célèbre épouse, l’accompagnant dans les moments clés de sa carrière tout en préservant leur cocon familial loin des regards indiscrets.
Une famille unie et épanouie
Bien que peu de détails soient connus sur leur vie familiale, il est clair qu’Eugénie Bastié et son mari ont su créer un foyer aimant et uni. Ensemble, ils ont traversé les hauts et les bas de la vie, en s’appuyant sur leur amour et leur soutien mutuel. Cette stabilité familiale a sans doute été un atout précieux pour la journaliste dans sa carrière trépidante.
Un équilibre respecté entre vie professionnelle et vie privée
En choisissant de garder son mariage à l’abri des regards indiscrets, Eugénie Bastié et son mari offrent un exemple inspirant d’équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Leur capacité à préserver leur intimité témoigne de leur maturité et de leur détermination à protéger leur relation des pressions extérieures.
Une source d’inspiration pour les couples discrets
Dans un monde où la vie privée des célébrités est souvent exposée au grand jour, le couple formé par Eugénie Bastié et son mari représente une source d’inspiration pour ceux qui aspirent à une relation amoureuse discrète et épanouie. Leur exemple prouve qu’il est possible de mener une carrière publique tout en préservant son intimité conjugale.
La journaliste, essayiste et polémiste française Eugénie Bastié est née le 18 novembre 1991 à Toulouse. Sous le parrainage d’Élisabeth Lévy et de Natacha Polony, elle débute sa carrière au sein des périodiques conservateurs Causeur et du média d’opinion d’extrême droite Le Figaro Vox.
Elle devient ensuite journaliste au Figaro et intervient régulièrement sur CNews dans son rôle d’éditorialiste. En raison de ses opinions controversées sur des valeurs sociales comme le féminisme et du tumulte qu’elle provoque sur des plateformes comme la télévision et Twitter, elle est devenue un symbole de la droite dure.
Depuis qu’elle a commencé à faire des vagues à l’extrême droite, à la fin des années 2010, ses discours ont retenu l’attention des médias. Avec quatre frères et sœurs et une famille ancrée dans la foi catholique, Eugénie Bastié est la fille d’un paysagiste et d’un médecin en médecine nucléaire. C’est dans la ville de Pibrac, située dans la Haute-Garonne, juste à l’extérieur de Toulouse, qu’elle a passé ses années de formation.
Après avoir effectué ses études en internat à Lectoure, lycée privé catholique du Gers, elle s’inscrit à l’Institut d’études politiques de Paris en 2009. Elle est titulaire d’un master lorsqu’elle franchit la ligne d’arrivée en 2014. Par ailleurs, elle obtient un master en philosophie de la Sorbonne Paris-IV.
Carrière
Elle a collaboré au site et au mensuel Causeur, dirigé par Élisabeth Lévy, de 2013 à 2015. Après avoir effectué un stage de six mois au FigaroVox, que Rue89 surnomme « la plateforme d’extrême droite du Figaro », le Figaro l’engage en 2015. En 2015, elle rejoint Gaultier Bès, Marianne Durano, Camille Dalmas et Paul Piccarreta pour co-fonder la revue « écologie intégrale » note 1 Limite.
La publication se targue d’être “une revue de combat culturelle et politique, d’inspiration chrétienne”, et elle a été surnommée “la jeune garde catholique ultraconservatrice” par le quotidien Libération. Ce poste lui a été confié une fois qu’elle a été nommée rédactrice en chef des suppléments politiques du journal.
En 2019, elle a quitté le journal en raison de désaccords avec sa tactique éditoriale. En septembre 2015, elle se livre à une dispute oratoire avec Jacques Attali sur le plateau de Ce soir (ou jamais) sur la crise dite des migrants. Sa déclaration : « Le vieux monde est de retour, M. Attali », a valu à sa réponse une large attention en ligne.
“Adieu, Mademoiselle” est son premier essai publié et paraît en avril 2016. Les féministes perdues aux éditions du Cerf. Prétendant qu’il s’agit d’un pamphlet antiféministe, les Inrockuptibles font valoir leur point de vue. Vraisemblablement, elle croit au « patrimoine », mais pas au « progrès ».
Dans la revue Royaliste, l’auteur Gérard Leclerc qualifie cette pièce de « particulièrement dialectiquement ciselée, très éclairée et mettant le fer au cœur même d’un des débats les plus cruciaux de l’époque ». Il critique “tout son livre sur le féminisme en occultant de manière spectaculaire les violences sexuelles sauf pour parler de Cologne et stigmatiser les musulmans”, comme le rapporte Libération.
Mediapart la présente dans cette pièce aux côtés de Marianne Durano et Thérèse Hargot comme figures antiféministes. Le magazine Actualité (diffusé sur France 2) a présenté ses contributions en septembre 2016. Son embauche a fait sensation sur Twitter et elle a quitté l’émission sans prévenir deux mois plus tard. En avril 2017, elle commence à travailler comme journaliste à la rubrique « débats et opinions » du Figaro.
En juin 2017, Sylvain Fort l’amène, avec Alain Finkielkraut et Régis Debray, à l’Élysée. Lors de leur rencontre, Fort a suggéré qu’ils soient moins critiques à l’égard des programmes libéraux d’Emmanuel Macron. Les Editions du Cerf ont sorti sa deuxième pièce, Le Cochon de fuite : Terreur ou Contre-Révolution, en octobre 2018 ; c’était une analyse critique du mouvement #MeToo.
“Je crois qu’une main sur les fesses n’a jamais tué personne”, a déclaré Léa Salamé lors d’une invitation de France Inter à l’occasion de la parution de son livre. Léa nous partage sa citation. Suite aux critiques suscitées par ce commentaire, Eugénie Bastié a déclaré : « Si je devais refaire le livre aujourd’hui, je n’écrirais plus cette phrase ».
Pour la saison 2019-2020, elle participera à l’émission Et en siamois de BFM TV (présentée par Apolline de Malherbe) le dimanche soir et interviendra le jeudi à 19h. Visionnez le débat entre Ruth Elkrief et Alain Duhamel sur l’actualité. Depuis juillet 2020, elle est employée comme éditorialiste chez CNews.
Confirmant ce qu’affirme La Dépêche sur l’aspect conservateur de la chaîne d’information en continu, la source de cette révélation, L’Obs, juge cet emploi une “bonne affaire” pour CNews. À partir de mai 2021, elle co-animera l’émission de 19 h. diffusion de Place aux idées avec la journaliste Clélie Mathias sur la chaîne TV. Départ avec l’année scolaire 2022-2023, elle a animé deux émissions : “Le Club des idées” sur Figaro TV et l’émission de revue de presse “Revue des hebdos et des idées” sur Europe 1.
Désaccords et perspectives
Ses idées suscitent de nombreux scandales et certains médias sont même allés jusqu’à qualifier d’antiféministes ses positions contre le mouvement MeToo. Elle s’identifie fièrement comme une « alterféministe » indépendante. Elle est peut-être idéologiquement opposée à l’avortement, mais Eugénie Bastié affirme qu’elle ne s’oppose pas à la légalisation de l’opération.
Elle déplore également que certaines Françaises subissent des « pressions pour avorter » et n’aient pas d’autre choix. Lors de l’attentat terroriste du 23 mars 2018, Eugénie Bastié tweetait : “L’homme a peut-être été mis aux fesses à Saint-Cyr, alors ne le jugeons pas trop hâtivement en héros”. Alors que le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame venait de s’entretenir avec le prisonnier, cette chose s’est produite.
Cela n’est pas sans rappeler l’épisode comique de harcèlement sexuel qui a secoué le lycée militaire d’Arnaud Beltrame, cela ressemble un peu. Les critiques ont fustigé la journaliste et son journal, Le Figaro, après son commentaire. Le même jour, Eugénie Bastié tweetait à la fois des excuses et une rétractation.
Pour apporter des modifications à votre page sur Wikipédia, veuillez nous contacter. En octobre 2023, Eugénie Bastié a publiquement contesté l’usage du terme « réactionnaire » sur sa page Wikipédia. L’effort s’appelait “Wokipedia” (un jeu de mots sur l’adjectif éveillé), et les écrivains étaient traités de “crétins”.
