
Pierre Servant Bonnet – Le nom de Pierre Servant est indissociable du célèbre mouvement des Bonnets Rouges qui a secoué la Bretagne en 2013. Devenu un symbole iconique de cette fronde contre l’écotaxe, cet agriculteur breton a marqué les esprits avec son bonnet rouge devenu l’emblème de la contestation. Dans cet article, nous explorons le parcours de Pierre Servant et l’impact durable de son geste symbolique sur la scène politique française.
Les Origines du Mouvement des Bonnets Rouges
En 2013, le gouvernement français a annoncé la mise en place d’une écotaxe sur les poids lourds, suscitant un vif mécontentement dans les régions rurales, notamment en Bretagne. C’est dans ce contexte que Pierre Servant, un agriculteur de Ploeren dans le Morbihan, a décidé de passer à l’action en arborant un bonnet rouge, un symbole historique de la révolte bretonne.
L’Étincelle qui a Embrasé la Contestation
Le geste simple mais puissant de Pierre Servant a rapidement fait des émules. Des milliers de Bretons ont enfilé à leur tour le bonnet rouge, transformant ce mouvement en une véritable fronde populaire contre l’écotaxe et les décisions jugées autoritaires du gouvernement.
Un Symbole Fédérateur
Au-delà de la contestation de l’écotaxe, le bonnet rouge de Pierre Servant est devenu un symbole fédérateur pour les Bretons, exprimant leur attachement à leur identité régionale et leur volonté de faire entendre leur voix. Ce geste a transcendé les clivages politiques traditionnels, rassemblant des citoyens de tous horizons autour d’une cause commune.
L’Impact Durable sur la Scène Politique
Bien que le mouvement des Bonnets Rouges ait finalement conduit au retrait de l’écotaxe, son impact s’est révélé durable sur la scène politique française. Pierre Servant et son bonnet rouge sont devenus des icônes de la contestation citoyenne, rappelant aux décideurs politiques l’importance d’écouter et de prendre en compte les préoccupations des territoires ruraux.
Pendant la réunion, il feuillette la petite note qu’il a prise sur son iPhone, ne voulant pas oublier ce qu’il voulait dire, “juste une fois”, pour que quelqu’un l’écoute. Pas contre” une autonomie britanniqueLe passage continue : « Nous vivons à une époque de ruine et de chaos, où le gouvernement s’est transformé en une machine qui détourne l’argent des citoyens et le redistribue aux grandes entreprises au moyen de demandes de subventions, de subventions ou de déductions. »
Cela ne l’empêcherait pas de payer tous ces impôts « s’ils étaient utilisés à bon escient ». Mais c’est là qu’intervient « l’ultralibéralisme » pour répondre aux besoins de la « finance internationale. Pierre, un jeune ingénieur préoccupé par une possible violation des libertés liées au système d’écotaxe, a été présenté à Francetv Info.
Il fait « son devoir civique ». Pierre, quarante-sept ans, est un ingénieur informaticien glacial et réservé qui travaille pour une grande entreprise française. Né à Paris et d’origine française et italienne, il s’est installé à Rennes (Ille-et-Vilaine) il y a cinq ans. De quoi s’identifier comme un « Breton de cœur et d’adoption » et s’aligner sur les « Bonnets rouges ». En dépit d’une récupération politique, il ne porte pas le fameux couvre-chef, mais il « soutient à fond le mouvement ».
“Génial, enfin la France se réveille”
Le jeune homme, auteur d’une note sur ces ports publiée sur un site sécurisé, raconte : « Quand j’ai vu ce qui se passait à Pont-de-Buis [les premières destructions de ports écotaxes], je me suis dit : “C’est super, enfin la France, ou du moins la Bretagne, se réveille.'” “J’ai un grand pont avec plein de caméras près de chez .Je pense que c’est un peu comme Big Brother”, reconnaît Pierre, citant l’exemple du “Pays-Bas, qui a installé des trucs similaires et les utilise pour surveiller les gens”.
Les liens entre la société Ecomouv, Autostrade, Thales et Benetton sont également remis en question à cette époque. Il craint que ses libertés ne soient violées et joue parfois avec les théories du complot. Pourtant, en tant qu’ingénieur, il aimerait savoir quel type de données sont capturées par les ports et ce que les autorités en font.
Il commence ainsi en participant à la manifestation de Quimper le 2 novembre ainsi qu’au « blocus pacifique » du portique de Montauban-de-Bretagne au départ de Rennes la semaine suivante. “C’était une ambiance sympa, on a joué à la table bretonne devant la file des CRS”, rapporte l’intéressé, avec une photo en bas.
“On nous impose de nouvelles taxes sournoisement”
Constantin calme, parfaitement en équilibre dans son costume noir jusqu’au bout, Pierre, qui ne vote pas, se considère comme un “libre penseur” et estime que la société est “à l’arrêt dans tous les domaines”. Selon ses rétractations, la suppression des droits d’accise passe avant toute autre chose.
Par la suite, l’Etat et Ecomouv ont passé une “enquête approfondie sur le contrat”. Et finalement, la conclusion du “matraquage fiscal”. Pendant la réunion, il feuillette la petite note qu’il a prise sur son iPhone, ne voulant pas oublier ce qu’il voulait dire, “juste une fois”, pour que quelqu’un l’écoute.
“Pas contre” une autonomie britannique
Le passage continue : « Nous vivons à une époque de ruine et de chaos, où le gouvernement s’est transformé en une machine qui détourne l’argent des citoyens et le redistribue aux grandes entreprises au moyen de demandes de subventions, de subventions ou de déductions. » Cela ne l’empêcherait pas de payer tous ces impôts « s’ils étaient utilisés à bon escient ». Mais c’est là qu’intervient « l’ultralibéralisme » pour répondre aux besoins de la « finance internationale ».
Pierre, un jeune ingénieur préoccupé par une possible violation des libertés liées au système d’écotaxe, a été présenté sur Francetv Info. Il fait « son devoir civique ». Pierre, quarante-sept ans, est un ingénieur informaticien glacial et réservé qui travaille pour une grande entreprise française.
Né à Paris et d’origine française et italienne, il s’est installé à Rennes (Ille-et-Vilaine) il y a cinq ans. De quoi s’identifier comme un « Breton de cœur et d’adoption » et s’aligner sur les « Bonnets rouges ». En dépit d’une récupération politique, il ne porte pas le fameux couvre-chef, mais il « soutient à fond le mouvement ».
“Génial, enfin la France se réveille”
Le jeune homme, auteur d’une note sur ces ports publiés sur un site sécurisé, raconte : « Quand j’ai vu ce qui se passe à Pont-de-Buis [les premières destructions de ports écotaxes], je me suis dit : “C’est super, enfin la France, ou du moins la Bretagne, se réveille. Je pense que c’est un peu comme Big Brother”, reconnaît Pierre, citant l’exemple du “Pays-Bas, qui a installé des trucs similaires et les utilise pour surveiller les gens”.
Les liens entre la société Ecomouv, Autostrade, Thales et Benetton sont également remis en question à cette époque. Il craint que ses libertés ne soient violées et joue parfois avec les théories du complot. Pourtant, en tant qu’ingénieur, il aimerait savoir quel type de données sont capturées par les ports et ce que les autorités en font.
Il commence ainsi en participant à la manifestation de Quimper le 2 novembre ainsi qu’au « blocus pacifique » du portique de Montauban-de-Bretagne au départ de Rennes la semaine suivante. “C’était une ambiance sympa, on a joué à la table bretonne devant la file des CRS”, rapporte l’intéressé, avec une photo en bas.
“On nous impose de nouvelles taxes sournoisement”
Constantin calme, parfaitement en équilibre dans son costume noir jusqu’au bout, Pierre, qui ne vote pas, se considère comme un “libre penseur” et estime que la société est “à l’arrêt dans tous les domaines”. Selon ses rétractations, la suppression des droits d’accise passe avant toute autre chose. Par la suite, l’Etat et Ecomouv ont passé une “enquête approfondie sur le contrat”. Et finalement, la conclusion du “matraquage fiscal”.
En revenant au sujet de cette biographie, on voit qu’en 1843 il avait publié une étude sur la convergence des séries à termes positifs. En 1849, il reçut un prix de l’Académie belge des sciences pour un autre article sur les séries. Mais avant ces deux études sur les séries, Bonnet publie Sur certaines propriétés générales des surfaces et des lignes tracées sur les surfaces ⑉ en 1844, marquant le début de ses travaux sur la géométrie différentielle.
