
Olivier Rafowicz Wikipedia – Olivier Rafowicz est une figure incontournable de la communication militaire israélienne. En tant que porte-parole de l’armée de l’État hébreu, il est chargé de représenter les forces armées auprès des médias français et francophones. Mais qui se cache réellement derrière cet homme devenu le visage médiatique des opérations militaires israéliennes ? Cet article vous propose de découvrir son parcours atypique et sa carrière riche en rebondissements.
Des Racines Franco-Israéliennes
Né en France dans une famille juive d’origine polonaise, Olivier Rafowicz grandit entre Paris et Jérusalem. Dès son plus jeune âge, il est confronté à la réalité géopolitique complexe du Proche-Orient, ce qui forge sa vocation pour la défense de l’État d’Israël. Après des études supérieures en relations internationales, il décide de s’engager dans l’armée israélienne.
Une Carrière Militaire Remarquable
Olivier Rafowicz intègre les forces armées israéliennes en 1992. Grâce à ses compétences linguistiques et son bagage académique, il se distingue rapidement et gravit les échelons. Il occupe différents postes stratégiques, notamment au sein des services de renseignement militaire. Son expertise en matière de communication et de relations publiques lui vaut d’être nommé porte-parole de l’armée en 2015.
Le Visage Médiatique des Opérations Militaires
Dans son rôle de porte-parole, Olivier Rafowicz devient le représentant officiel des forces armées israéliennes auprès des médias francophones. Il est chargé de commenter les opérations militaires, d’expliquer les décisions stratégiques et de défendre la position d’Israël sur les questions de sécurité. Son aisance à l’oral et sa maîtrise des enjeux géopolitiques font de lui un interlocuteur incontournable pour les journalistes couvrant le conflit israélo-palestinien.
Un Défenseur Acharné d’Israël
Au-delà de sa fonction de porte-parole, Olivier Rafowicz est un ardent défenseur de la cause israélienne. Ses prises de position fermes et son plaidoyer en faveur de la sécurité de l’État hébreu lui valent autant de soutiens que de critiques. Certains lui reprochent une vision trop partiale du conflit, tandis que d’autres saluent son engagement résolu pour la défense des intérêts israéliens.
Un Parcours Singulier
Le parcours d’Olivier Rafowicz est à l’image de sa double culture franco-israélienne. Cet homme, qui a su conjuguer son bagage académique avec une carrière militaire exceptionnelle, est devenu un acteur incontournable de la diplomatie et de la communication stratégique israéliennes. Son rôle de porte-parole en fait une figure médiatique controversée mais respectée, dont l’influence ne cesse de grandir.
À l’âge de dix-neuf ans, Olivier Rafowicz quitte la France. Après cela, il est allé à l’Université de Jérusalem pour se spécialiser en relations internationales et en politique. Il a servi vingt ans dans les Forces de défense israéliennes (FDI), période pendant laquelle il a été colonel de réserve et l’un des porte-parole les plus virulents de l’armée.
Il se présentera au conseil municipal de Tel Aviv lors des prochaines élections du 30 octobre 2018, après avoir été directeur de l’Agence juive et ambassadeur itinérant du Fonds national juif. Son objectif est de mettre son énergie au profit du pays. Olivier essaie de faire reconnaître par la mairie de Tel Aviv l’importance de l’Aliya, en particulier de l’Aliya en Europe, où le malaise juif est évident.
De plus, c’est l’occasion de souligner aux Israéliens nés dans le pays l’alliance incassable que la diaspora et Israël ont conclue. Il n’y a pas si longtemps, Israël était davantage une pépinière d’orangers qu’une pépinière de startups. Tout au long de l’histoire, les Olim ont joué un rôle crucial en tant qu’artisans.
Cependant, le temps des pionniers venus en Amérique pour jeter les bases de sa prospérité future est révolu. Que les Olim veuillent se sentir chez eux et vivre une vie digne de leur nom sous tous les angles dépend de la manière dont ils s’intègrent dans le présent. Les pays les plus avancés du monde n’ont désormais plus rien à envier à Israël.
Cependant, cela implique également que les Olim doivent être bien informés avant leur arrivée. S’orienter parmi les nombreuses options culturelles, sociales et économiques d’une ville comme Tel Aviv peut être un véritable défi. Soutenir les familles, aider au logement et enseigner l’hébreu aux Olim seront des priorités absolues pour Olivier, qui exigera que le conseil municipal donne la priorité à ces questions.
Olivier est un leader affable et charismatique, mais il s’est entouré de personnes engagées et issues de divers horizons afin d’accomplir sa mission. Sont inclus dans ce groupe Boris Shindler de la communauté russophone, Vika Kanar des jeunes traditionalistes aux États-Unis, Liami Lawrence du groupe de soutien Olim, Claude Brightman du campus universitaire francophone de Netanya, Edgar Cohen du Neve Centre Médical Tsedek, Jacques Amoyal du monde entrepreneurial, Sandie Benhamou du monde des affaires, et bien d’autres encore.
Cinquante otages israéliens devraient être libérés lors de la trêve de quatre jours entre le Hamas et Israël qui débute vendredi 24 novembre. Ramener les treize premiers à Rafah (Gaza) vers trois heures de l’après-midi (heure française). Le porte-parole de l’armée israélienne, Olivier Rafowicz, s’est joint à 12/13 info pour nous en dire plus. Il a proclamé qu’aujourd’hui était un « jour très important » pour Israël et son peuple. Et juste pour que vous le sachiez : « Tsahal est toujours sur le terrain. Soyez vigilant à tout moment.
Y avait-il des ressortissants français parmi les otages libérés ?
Olivier Rafowicz a refusé de commenter lorsqu’on lui a demandé si des ressortissants français pourraient figurer parmi les premiers prisonniers libérés. “Le Hamas a enlevé près de 250 personnes, dont des femmes et des enfants”, dit-il, expliquant que l’affaire est très délicate.
Aussi, « il a fallu près de 50 jours pour obtenir des retours », se souvient-il. “Tant que les choses ne sont pas faites, [il] préfère ne pas en parler” pour cette raison. Un groupe politique français traditionnellement considéré comme se situant à gauche de l’échiquier politique est le groupe socialiste (PS).
Le Parti socialiste, arrivé au pouvoir en 1969, a hérité de son idéologie socialiste de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO), créée en 1905 par Jean Jaurès. Il s’est développé en intégrant d’autres groupes politiques socialistes lors du congrès d’Epinay de 1971.
François Mitterrand est ensuite nommé premier secrétaire du parti. Ensuite, il a avancé ses projets centrés sur le rapprochement de la gauche et la création d’un agenda politique commun avec le Parti communiste français (PCF). En 1981, François Mitterrand devient le premier président socialiste de la Ve République après avoir remporté l’élection présidentielle.
Au cours de ses deux mandats, marqués par les mesures sociales et le « tournant de la rigueur », il a également eu deux coalitions avec les conservateurs. Lorsque le gouvernement Jospin a été formé après la victoire de la gauche plurielle aux élections législatives de 1997, le PS était de retour au pouvoir.
Lors de l’élection présidentielle de 2002, le candidat d’extrême droite Jean-Marie Le Pen a éliminé Lionel Jospin dès le premier tour, le plaçant troisième ; cela a marqué le début d’une décennie au cours de laquelle le PS a évité toute implication dans les affaires exécutives. À l’issue d’une primaire ouverte, François Hollande a été désigné candidat à la présidentielle puis élu président de la république en 2012.
Au cours de ses cinq années de mandat, il était notoirement impopulaire et entretenait des relations tendues avec les socialistes dits « frondeurs » qui s’opposaient à la politique sociale et politique. politiques économiques des premiers ministres successifs Bernard Cazeneuve, Manuel Valls, et Jean-Marc Ayrault.
Après les cinq années de présidence de François Hollande, les candidats présidentiels du Parti socialiste Benoît Hamon (2017) et Anne Hidalgo (1922) ont tous deux obtenu des pourcentages de voix record (6,36 et 1,75 pour cent, respectivement). Certains membres du parti ont rejoint le mouvement La Convention de Bernard Cazeneuve lorsque des protestations internes ont suivi après que le parti a rejoint l’alliance de gauche Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (NUPES).
Le 18 novembre, l’association France Israël Metz a accueilli Olivier Rafowicz, colonel de réserve et ancienne porte-parole de l’armée israélienne. Toute une sensation dans la salle Guise de la mairie de Metz, lorsque Oliver Rafowicz a prononcé un discours sur l’impact des accords d’Abraham sur le Moyen-Orient.
Il affirme que « l’approche régionale et internationale s’est estompée au profit du binaire classique Israël-Palestine ». Rafowicz déplore l’incapacité de la France à comprendre le nouvel échiquier géopolitique et exhorte l’Europe et la France à mettre fin à leurs politiques pro-israéliennes et pro-arabes et à adopter à la place une politique arabe et israélienne.
