
Jordan Bardella Taille – Jordan Bardella, figure de proue du Rassemblement National à seulement 27 ans, ne passe définitivement pas inaperçu sur la scène politique française. Et pour cause, le jeune homme impressionne autant par ses prises de position tranchées que par sa haute stature qui le démarque indéniablement. Officiel, Jordan Bardella mesure près de 1m90, une taille qui en fait l’un des plus grands présidents de parti en France.
Une Stature Unique Dans Le Paysage Politique
À 1m90, Jordan Bardella détonne par sa grande taille dans le milieu politique hexagonal. Bien loin des gabarits plus “classiques” d’un Emmanuel Macron (1m73) ou d’un Jean-Luc Mélenchon (1m75), le président du RN se démarque par son imposante carrure dès qu’il foule une estrade.
L’Allure d’Un Athlète Avantageux
Cette haute stature ne fait que renforcer l’allure déjà élancée et sportive de Jordan Bardella. Ex-adepte de la musculation, il affiche aujourd’hui la silhouette avantageuse d’un athlète, loin des rondeurs parfois associées au milieu politique. Un physique qui participe grandement à son image de jeune loup plein d’énergie.
Une Présence Scénique Indéniable
Les 1m90 de Jordan Bardella lui confèrent une présence scénique et un charisme indéniables lors de ses apparitions publiques. Dépassant aisément la foule de son regard perçant, il en impose naturellement par sa haute stature. Un atout non négligeable pour ce jeune ambitieux qui courtise ouvertement l’électorat populaire.
Une Taille Qui Fait (Presque) Tout Son Charme
S’il serait réducteur de résumer Jordan Bardella à ses seuls attributs physiques, force est de constater que sa grande taille de 1m90 participe grandement de son charisme et de son rayonnement actuel. Un gage de prestance qui ne fait que renforcer son discours volontiers clivant aux yeux de ses admirateurs… comme de ses détracteurs.
Ceux qui étaient en compétition contre lui l’ont remarqué : Jordan Bardella a changé de voiture au cours des derniers mois. D’un point de vue politique comme physique, après quelques heures passées à faire de l’exercice.
C’est l’autre “gendre idéal” que possède la famille grimpe. Jordan Bardella incarne l’avenir des électeurs du Rassemblement national, tandis que Gabriel Attal, le plus jeune premier ministre de la Ve République à 34 ans, représente la macronie.
Malgré ses 28 ans, le responsable de l’Enquête électorale européenne 2024 a des ambitions encore plus élevées : on sait que l’Eurodéputé cible spécifiquement Matignon en cas d’élection de Marine Le Pen en 2027. Au cas où Emmanuel Macron dissoudrait l’Assemblée nationale , nous verrons le plus tôt possible.
Ce sont ces rêves qui l’ont poussé à enfin changer de cap ces derniers temps. Un conseiller de l’Élyséen a constaté : “Il a changé de look”, selon Le Figaro Magazine. Ce dernier a notamment noté que les désirs du jeune homme étaient « plus larges » et que ses vêtements, un « bleu présidentiel », étaient « plus amples ».
Sans parler de sa coiffure “plus longue” et épingle en arrière, à la Chirac des années 60-70. Une étude qui a récemment fait le bonheur de l’élu, comme le rapporte Complément d’enquête. Surtout la section sur ses costumes “plus amples”. Car c’est surtout une prise de muscle qu’il faut voir derrière cette innovation. “J’ai dû prendre la taille au-dessus !” explique celui qui a dû laisser ses vieux vêtements sur la pancarte. Reste à venir, selon l’allié de Marine Le Pen, avec de nouveaux objectifs pour Matignon.
Pas moins fier de ses muscles que Jordan Bardella. Dimanche, lors du “Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Paris Première”, les sept têtes d’affiche ont débattu pour la première fois. L’occasion pour les candidats aux élections européennes d’interroger directement le scrutateur Jordan Bardella.
Doit-il le croire ? Et pour ses nouveaux jarrets musclés, que le natif de Drancy tentait désormais de mettre en valeur, quelques mois après son retour en Europe. “Ce serait bien qu’on prenne une photo ensemble”, aurait-il dit il y a peu à Marine Le Pen. Problème : la tante de Marion Maréchal ne se soucie donc pas de reprendre le poste six mois après leur dernier tournage : “On n’arrête pas d’en faire”. Peu apte à apaiser la colère de ses héritiers : “Oui mais, j’ai changé depuis”, a-t-il insisté. Ce nouveau style n’est certainement pas une coïncidence, j’en suis sûr.
Jordan Bardella, tête de liste du RN pour les prochaines élections européennes, a été la cible de plus de deux heures d’échanges houleux. Alors que RTL-Le Figaro-M6 et Paris Première organisaient leur premier débat avec les sept autres candidats, le favori du scrutateur figurait parmi eux. Dans la dernière enquête Eurotrack OpinionWay-Vae Solis pour “Les Echos”, le RN est en retard de plus de dix points sur la liste de la majorité présidentielle emmenée par l’eurodéputée Valérie Hayer avec 29% d’intentions de vote.
Dès le début de l’émission, Valérie Hayer a souligné, d’abord, les « positions moins ambiguës » de Jordan Bardella sur le conflit en Ukraine et le retour sur sa liste de Thierry Mariani, l’eurodéputé RN, très critiqué pour ses liens étroits avec le Kremlin. “Quand on regarde vos votes, vous n’avez jamais soutenu l’Ukraine”, leur a-t-elle rappelé, “parce que vous avez soutenu la Russie, ce qui est humiliant aujourd’hui”. Ils ont donc changé certaines de leurs opinions.
De l’autre, Jordan Bardella a reproché au candidat de la majorité de vouloir “supprimer la souveraineté de la France” à travers le “partage de dissuasion nucléaire avec nos partenaires européens”. Dans un récent entretien avec la presse régionale, le président français Emmanuel Macron a indiqué sa volonté d'”ouvrir ce débat” dans le cadre d’une future défense européenne. Valérie Hayer a rétorqué : “Ce n’est pas une mutualisation forcée, vous le savez.”
Lors d’un débat organisé sur BFMTV, les deux chefs de liste se sont déjà opposés en duel jeudi dernier. S’adonnant à sa stratégie consistant à transformer le Parlement européen en référendum pour ou contre la politique d’Emmanuel Macron, le très offensif Jordan Bardella semblait pressé de prendre une décision. Dimanche, après avoir soigneusement évité les débats à plusieurs reprises, le président du RN a dû pour la première fois affronter ses adversaires de front, parfois en colère.
Le parti socialiste a soutenu Raphaël Glucksmann, qui voulait dénoncer les incohérences du RN sur l’Europe. A Strasbourg, le troisième membre du jury s’est opposé à la principale accusation de Jordan Bardella en déclarant : “Vous n’êtes pas un patriote, vous êtes au service d’une idéologie”.
Ce fut un échange houleux. Alors que j’en ai soumis 3 500, vous avez soumis 21 révisions en cinq ans. Selon Manon Aubry, leader de la France Insoumise, “vous n’êtes plus le parti de l’incendie, vous êtes le parti de la flemme nationale”. Cela aurait dû s’appeler le grand procès, pas le grand jury, a moqué Jordan Bardella.
Au fur et à mesure que les sujets avançaient, il est apparu que Jordan Bardella et les autres têtes de liste, à l’exception notable de Marion Maréchal (Reconquête), étaient en antagonisme souvent violent les uns avec les autres. Qu’est-ce que la transition écologique ? Avant de réclamer une “pause des contraintes qui pèsent sur la croissance”, Jordan Bardella a dénoncé une “décroissance” imposée par Bruxelles. “J’assume le Pacte vert”, a-t-il déclaré, son adversaire Valérie Hayer le qualifiant de “caricatural”.
La politique commerciale chinoise agressive est un autre enjeu majeur sur lequel Jordan Bardella se bat pour un protectionnisme et une « préférence européenne » dans les marchés publics. L’immigration a notamment servi à cristalliser l’animosité entre l’extrême droite et ses opposants. Raphaël Glucksmann a évoqué les slogans d’opposition sur l’immigration espagnole, ajoutant qu’ils relèvent d’une vidéo TikTok et ne correspondent pas à la réalité des économies et sociétés européennes. Comment gérer les flux migratoires irréguliers ?
Valérie Hayer a répondu à l’interpellation de Jordan Bardella en déclarant : “Avec le Pacte sur les migrations asiles, je suis la seule autour de cette table à avoir voté”. Vous avez tenté de m’expliquer comment fonctionnait votre double frontière. “Délicieusement, je n’ai vraiment pas compris”, corrigea-t-elle plus tard.
