Geraldine From La Butte Divorce – À 51 ans, Géraldine Dalban-Moreynas, plus connue sous le nom de Géraldine From La Butte, est une femme aux multiples casquettes. Entrepreneuse accomplie à la tête de la marque @m.paris__, voyageuse infatigable et désormais écrivaine à succès, cette Parisienne d’adoption cultive une vie bien remplie. Mais il fut un temps où elle a dû réinventer son quotidien après un divorce douloureux. Retour sur ce tournant décisif.
La fin d’une histoire de 15 ans
C’est en 2014 que Géraldine annonce sa séparation avec son mari, après 15 années de vie commune. Un coup dur pour cette femme d’affaires qui a alors choisi d’en faire une nouvelle force, en partageant sans fard son expérience du divorce sur les réseaux sociaux.
Une mère solo mais déterminée
Devenue une mère célibataire avec deux enfants à charge, Géraldine a dû relever ce défi avec toute sa pugnacité légendaire. S’installer à la Butte Montmartre, préserver des liens apaisés avec son ex pour assurer une coparentalité harmonieuse… Autant d’étapes franchies avec succès.
Le déclic d’une nouvelle vie
Loin de se laisser abattre, cette battante a même réussi à transformer cette épreuve en véritable tremplin. Son best-seller “L’ex de ma vie” a conquis les lecteurs par sa plume acérée, relatant avec humour les affres d’un divorce à la parisienne.
Une icône plurielle pour les femmes d’aujourd’hui
Désormais, Géraldine From La Butte représente une véritable icône pour les femmes modernes. Cheffe d’entreprise accomplie, mère aimante, voyageuse éclairée et autrice accomplie… Un modèle d’épanouissement malgré les séparations et les épreuves.
Une énergie intacte pour d’autres défis
À 51 ans, la soif d’entreprendre de Géraldine ne semble d’ailleurs pas prête de s’arrêter. Qu’elle poursuive ses folles escapades ou relève de nouveaux paris professionnels, cette battante plurielle compte bien continuer à vivre sa vie par elle-même, sans jamais renoncer !
Afin d’accomplir son vœu envers son nouvel amant, chef d’orchestre, dont elle joue le premier violon, Ariane persuade son séduisant ex-mari d’accélérer le processus de divorce et de l’accompagner à Paris pour éviter la procédure de trois ans que les Italiens mandats de la loi.
Après cela, il y a beaucoup de scènes stressantes (la croisière en bateau-mouche, la rencontre avec l’avocat, l’entretien, etc.) avec des disputes bruyantes et une intolérable sonnerie de téléphones portables. Jusqu’à présent, nous avons vu Géraldine Nakache dans ses superbes robes.
Le bruit des sabots énormes est néanmoins plus marquant que son trot en magnifiques pompes sur le trottoir parisien. Essaie de ne pas. Les choses les plus improbables peuvent arriver, même lorsque tout espoir semble perdu. Nous croyions honnêtement que les Allemands allaient remporter la victoire en décembre 1941.
Rien qu’en vous regardant, vous pouvez voir qu’ils sont conscients d’avoir affaire à l’un des esprits les plus brillants du XXe siècle. Le leader de la méthode. La rencontre a eu lieu alors qu’Edgar Morin participait au Forum de l’économie positive au Havre, animé par Jacques Attali du 13 au 17 septembre 2016.
Malheureusement, vous avez quitté Paris trop tard pour venir dîner avec moi vendredi soir. Même si vous êtes en grande forme, 22 heures du soir n’est toujours pas très judicieux, alors j’ai mis de côté mon impatience et nous avons dressé un plateau pour le souper dans votre chambre.
“Demandez qu’on me dépose dans ma chambre un verre de riz du Médoc ou de Pessac Léognan et du jambon cru”, écriviez-vous récemment à votre ami Jacques. “C’était parfait, il y avait exactement ce que je voulais”, avez-vous répondu le lendemain à ma question sur la situation du lendemain.
De plus, je n’avais aucune idée de ce qui se passait avec l’assiette sur laquelle il y avait ces petites choses dégoûtantes ; Je n’avais aucune idée de ce que c’était. Un club sandwich vous a été envoyé. Votre arrivée dans cette chambre banale de ce motel régional ne m’a été révélée qu’au petit-déjeuner. Le Havre était là où nous étions.
En sirotant mon thé, j’ai remarqué une interview d’une pleine page de Bruno Le Maire, l’animateur de l’émission française, dans le Figaro d’aujourd’hui. Au cas où vous auriez besoin de quelque chose, je suis venu vers vous, je vous ai tendu la main et j’ai promis d’être là pour vous.
“Ah, très bien”, murmurais-tu en me tenant la main et en me regardant avec cette expression qui est unique à la tienne : un mélange d’espoir, d’optimisme, de foi en l’avenir, de joie et d’envie de conquérir le monde. Délibérément, vous avez récupéré votre jus d’orange, votre thé et vos collations.
À cause de votre tendinite au bras, vous aviez peur de demander mon aide. J’y ai réfléchi, mais je me suis ensuite rappelé que vous pourriez le prendre mal ; après tout, nous avons toujours notre dignité, même à 95 ans. Puisque c’était le cas, je restais immobile. Vous avez finalement réussi alors que vous étiez seul.
Assis en face de Jacques, vous avez immédiatement commencé à converser. Je m’assis à la table juste derrière eux. Dans la salle de petit-déjeuner de cet hôtel de province, j’aurais pu tuer n’importe quel bruiteur à mains nues. Cependant, chacun restait silencieux, comme s’il avait une compréhension innée de l’incroyable opportunité d’être ici, d’assister à ce moment hors du temps dans une société envahie par la dictature de la gratification instantanée et de la télé-réalité.
Alors qu’il parlait de la résistance, de Mitterrand, de la fraternité essentielle que l’humanité doit embrasser pour avoir un espoir de survie, de la révolution indispensable et du monde d’hier, d’aujourd’hui et de demain, les quelques tables se sont tournées vers ce vieux monsieur.
Quand vous aviez 20 ans, en 1941, la France avait déjà perdu la guerre. Vous avez décrit cette époque de façon vivante. Les jeunes d’aujourd’hui ne peuvent pas imaginer à quoi ressemblait Paris à l’époque Vous décriviez ces personnes dont les noms apparaissent dans les livres d’histoire et j’ai été captivé par votre histoire.
L’entretien de Bruno Le Maire au Figaro est resté sur la table. Une fois mon verre épuisé, je me suis levé. Je l’ai simplement laissé faire. Mon seul regret est d’avoir souhaité qu’une caméra BFMTV soit présente pour immortaliser ces instants privilégiés. Je me suis cependant convaincu qu’il y avait des nouvelles à couvrir immédiatement – des nouvelles qui piqueraient l’intérêt de ceux qui ont pris l’habitude de regarder leur écran sans lever les yeux – bien plus que cela. à observer uniquement pendant le zapping.
Parce qu’il s’agit d’un culte du vide auto-entretenu, le système finira par s’effondrer. Quand nous étions à nouveau en couple, j’ai voulu savoir pourquoi tu n’avais jamais composé Resistance. Vous avez fait une pause pour réfléchir. Oui, j’ai abordé ce sujet au passage dans quelques-uns de mes romans.
Mettre la plume sur papier pour faire la chronique de cette période pourrait être bénéfique. Mais dans ce cas, il s’agirait d’un livre narratif, rempli de contes pour aider la jeunesse d’aujourd’hui à comprendre. Edgar a une longue liste de tâches, et la notion de livre sur la résistance est justet un de plus.
Vous avez déjà deux nouveaux livres qui sortiront l’année prochaine, donc ce sera davantage. Mais il fut un temps où on sentait que tout allait finir. ” Je me suis mis en garde contre le fait que cela pourrait me rendre incapable d’écrire. Vous avez continué lorsque vous avez réalisé que vous pouviez encore garder vos pensées et votre tête en ordre.
Il est 10 heures. Du monde se presse dans les allées et sur le parquet du théâtre du Havre. Vous êtes en train de jouer, et même si votre tendinite vous cause un petit inconfort, ce n’est pas un problème majeur. Cette nouvelle voie politique doit être inventée immédiatement, et Jacques se met à vous griller sur le sujet.
Cette salle noire, cette scène sur fond noir, est animée par votre vitalité. De même, l’enchantement. Une pièce sans bruit, comme si nous avions peur de perdre le contrôle et de nous fuir, car personne ne veut vous interrompre. Une belle leçon de vie et quarante-cinq minutes de bavardage avec ton pote Jacques.