
Claude Nougaro Taille – Claude Nougaro, figure incontournable de la chanson française, était connu non seulement pour sa voix unique et ses textes poétiques, mais aussi pour sa présence scénique imposante. Sa taille était un élément marquant de son image, contribuant à son charisme et à son aura légendaire. Dans cet article, nous allons explorer les détails de la stature impressionnante de Claude Nougaro et son impact sur sa carrière artistique.
Une stature hors du commun
Mesurant environ 1,90 mètre, Claude Nougaro se démarquait par sa taille imposante. Cette caractéristique physique ajoutait une dimension supplémentaire à sa présence sur scène, lui conférant une silhouette reconnaissable et mémorable.
L’importance de la présence scénique
Dans le monde de la chanson, la présence scénique est essentielle pour captiver le public. La taille de Claude Nougaro lui permettait de dominer la scène avec aisance, renforçant son magnétisme naturel et sa capacité à capter l’attention des spectateurs.
Une statue à taille réelle en hommage
L’importance de la taille de Claude Nougaro a été soulignée par l’érection d’une statue à sa taille réelle dans sa ville natale de Toulouse. Cet hommage témoigne de la reconnaissance de sa stature imposante comme un élément emblématique de son identité artistique.
Un symbolisme de grandeur
Au-delà de l’aspect purement physique, la taille de Claude Nougaro revêtait un symbolisme de grandeur. Elle reflétait son statut d’icône incontournable de la chanson française, une figure majeure dont l’influence a transcendé les générations.
Une inspiration pour les artistes de grande taille
Pour de nombreux artistes de grande taille, Claude Nougaro représentait une source d’inspiration, prouvant que la stature imposante peut être un atout sur scène. Son exemple a encouragé d’autres artistes à embrasser leur physique et à en faire un élément distinctif de leur performance.
Claude Nougaro était un poète, auteur-compositeur-interprète et acteur français. Il est né le 9 septembre 1929 à Toulouse, en France, et est décédé le 4 mars 2004 d’une maladie cardiaque. Son objectif de toujours a été de réunir la chanson, la poésie et le rythme français avec son amour du jazz, des musiques latines et africaines, tout en expérimentant la musicalité des mots.
Formation et jeunesse
Pierre Nougaro était baryton à l’Opéra de Paris de 1904 à 1988, et son épouse Liette Tellini était une pianiste et professeur italienne qui a remporté le premier prix au conservatoire ; ils ont eu un fils, Claude, qui a suivi leurs traces. Ses deux grands-parents, une sage-femme nommée Cécile et un aide-soignant au Capitole nommé Alexandre, sont chanteurs.
Claude est né de Cécile le 9 septembre 1929, au 56, boulevard d’Arcole, à Toulouse, et c’est elle qui a utilisé les forceps pour l’enlever. Ses grands-parents du quartier des Minimes l’ont élevé alors que ses parents étaient souvent en déplacement. Le procès-verbal de son inscription en 6e A2 au lycée Rollin 6 de Paris remonte au 6 mai 1943.
Il fut pensionnaire à l’Abbaye de Sorèze de 1944 à 1947, puis au prestigieux collège Montaigne de Vence, et enfin à Collège Cusset de Vichy, où il échoue au baccalauréat en 1947. Il se lance ensuite à corps perdu dans le journalisme en effectuant un stage dans un journal de Vichy. Pendant dix-huit mois à partir de 1949, Claude Nougaro a servi son pays à Rabat, au Maroc, dont 10 mois passés en prison.
Plus tard, il retourne chez ses parents à Paris, avenue des Ternes, après avoir travaillé un temps pour La Dépêche de Constantine en Algérie. Alors qu’il travaille sur des comédies musicales avec Marcel Amont (Le Barbier de Séville, Le Balayeur du roi) et Philippe Clay (Joseph, la Sentinelle), il rencontre Georges Brassens, qui deviendra plus tard son mentor et son ami. Il est connu pour sa poésie pleine d’esprit et romantique.
Allez-y
Jean-Roger Caussimon est un habitué du Lapin Agile, cabaret de Montmartre, où Claude Nougaro récite ses dix premiers poèmes en 1954, lançant ainsi sa carrière de comédien de scène. La compositrice d’Édith Piaf, Marguerite Monnot, reprend des paroles écrites par Claude Nougaro et les met en musique dans deux de ses œuvres, Méphisto et Le Sentier de la guerre.
Tout au long de cette période, Nougaro a également contribué aux paroles de chansons de Philippe Clay, Marcel Amont, Jacqueline François et d’autres (pour en savoir plus, voir « À la recherche d’un son qui fait sens »). Avant le 33 tours 25 cm, Président sort ses premiers enregistrements en octobre 1958 sur un super 45 tours.
Une métropole se matérialise l’année suivante. C’est notamment lui et son collaborateur Michel Legrand qui ont écrit les airs. Une petite fille et Cécile ma fille (dédiée à sa fille) sont les premiers succès de Philips en 1962, marquant le début de l’âge d’or de l’entreprise sous la direction artistique de Jacques Canetti.
Malgré ses premiers succès en ouverture des performances de Dalida, ces chansons l’ont catapulté aux yeux du public. Il a commencé à incorporer des motifs et des rythmes de jazz dans des chansons populaires françaises au début des années 1960, notamment des succès populaires comme « Les Mains d’une femme dans la farine », « Les Petits Bruns et les Tall Blonds », « Cinéma », Chanson pour Marilyn, et “Jazz and Java” (qui a été influencé par la composition de Dave Brubeck de 1959 “Three to Get Ready”).
Travailler avec le compositeur Jacques Datin sur des pièces comme Cécile, mi fille et Une petite fille, ainsi qu’avec Michel Legrand sur Le Cinéma et Les Don Juan, sont pour lui des projets en cours. Il mentionne l’alcool dans ses chansons, ou vous verrez qu’il le mentionne plus tard. Pendant des mois en 1963, il fut incapable de bouger à cause d’un accident de voiture. Il s’est rendu au Brésil l’année suivante.
A son retour, il joue dans plusieurs lieux très réputés, comme le Théâtre de la Ville de Paris ou le Palais d’Hiver de Lyon. En 1965, suite au décès de son ami Jacques Audiberti, qu’il avait rencontré en 1952 aux Deux Magots, il lui compose un hommage musical intitulé Chanson pour le maçon. Plus tard, il a écrit et chanté une chanson sur un pianiste nommé Maurice Vander, qu’il a appelé « Le Coq », et la chanson était un hommage à Vander.
Les événements de mai 1968 le poussent à composer le puissant « Paris Mai », « une chanson sur l’angoisse de l’homme de notre temps », « jugée subversive » et donc interdite de diffusion radiophonique, malgré sa véhémente hostilité à la politique. Une ode vivante à sa ville, Toulouse, est sa chanson. Parallèlement, il chante deux chansons qui deviendront des standards de son répertoire : Armstrong et Petit Taureau.
De 1970 à 1985
En 1975, Nougaro quitte Philips pour rejoindre Barclay. Tu verras 15 (la version française de O que sera de Chico Buarque de Holanda), Brazil, Enough, Le Coq et le Pendule, l’Île de Ré et quelques autres furent de grands succès à l’époque. Lors de sa chanson « Mon disque d’été », Nougaro l’évoque.
1986-1987 : un retour triomphal à New York
En quête d’inspiration créative, Claude Nougaro vend son hôtel particulier de Montmartre, avenue Junot et part pour New York. Claude Nougaro connaît un grand succès en 1987 avec pour titre la chanson “Nougayork”. L’opus, qui met en scène du rock, est bien accueilli tant par le public que par la critique, et en 1988, il remporte les Victoires de la Musique du meilleur album et du meilleur interprète masculin, relançant ainsi sa carrière.
