Baysangur Chamsoudinov Origine Parents – Baysangur Chamsoudinov, surnommé “Baki”, est l’une des nouvelles sensations du MMA (arts martiaux mixtes) français. À seulement 22 ans, ce jeune combattant d’origine tchétchène établi en France fait déjà parler de lui grâce à ses performances exceptionnelles sur les rings. Mais qui est réellement ce prodige des sports de combat ? D’où vient-il et quelles sont ses origines familiales ? Cet article vous dévoile tous les détails sur les racines de cette pépite montante de la scène MMA hexagonale.
Des Racines Tchétchènes
Né le 16 August 2001 à Grozny, capitale de la république tchétchène (Russie), Baysangur Chamsoudinov baigne dans l’univers des arts martiaux dès son plus jeune âge. Issu d’une famille tchétchène traditionnelle, il grandit dans un environnement où la pratique des sports de combat est ancrée dans la culture. Très tôt, ses parents l’initient aux disciplines telles que la lutte, le sambo et le combat libre, forgeant son talent précoce.
L’Exil en France
En 2008, alors qu’il n’a que 9 ans, Baysangur et sa famille fuient les conflits qui secouent la Tchétchénie pour trouver refuge en France. Ils s’installent dans la région de Haguenau, en Alsace, où le jeune garçon poursuit sa passion pour les arts martiaux. Malgré les difficultés liées à l’exil, il s’accroche à son rêve et continue de s’entraîner avec acharnement.
Une Filiation avec Khabib Nurmagomedov
Au-delà de ses origines tchétchènes, Baysangur Chamsoudinov partage des liens particuliers avec l’une des plus grandes stars du MMA mondial : Khabib Nurmagomedov. En effet, les deux combattants ont non seulement grandi dans la même région de Russie, mais leurs familles entretiennent des relations étroites. Khabib, considéré comme l’un des meilleurs pratiquants de MMA de tous les temps, est ainsi devenu un modèle et un mentor pour le jeune Baki.
Un Parcours Fulgurant
Malgré son jeune âge, Baysangur Chamsoudinov a déjà accompli un parcours remarquable dans le monde des sports de combat. Après avoir remporté de nombreux titres en amateur, il fait ses débuts professionnels en MMA en 2018. Depuis, il enchaîne les victoires impressionnantes, notamment face à des adversaires expérimentés. Sa détermination, sa technique redoutable et son style spectaculaire en font l’une des grandes promesses du MMA français.
Un Avenir Prometteur
Grâce à ses racines tchétchènes, son exil en France et son lien privilégié avec Khabib Nurmagomedov, Baysangur Chamsoudinov dispose d’un bagage unique qui forge sa personnalité de combattant. À seulement 23 ans, ce phénomène du MMA a déjà conquis de nombreux fans et attise les espoirs des passionnés de sports de combat en France. Nul doute que son parcours hors du commun lui réserve encore de nombreux succès à venir.
Baki, de son vrai nom Baysangur Chamsoudinov et né le 16 août 2001, est un pratiquant d’arts martiaux mixtes (MMA) d’origine tchétchène originaire de France.
Histoire personnelle
Urous-Martan, en Tchétchénie, lieu de naissance de Chamsoudinov en 2001, a été dévastée par la seconde guerre tchétchène. Ses parents lui ont choisi le nom de Baysangour en hommage au guerrier tchétchène Baïssangour de Benoï, qui a lutté contre la colonisation russe. À l’âge de quatre ans, sa famille s’enfuit en France, où ils s’installent finalement à Haguenau, dans le Bas-Rhin, après un bref séjour en Allemagne.
Il était fréquemment confronté à des affrontements et était la cible de blagues pendant ses années d’école, qu’il prenait personnellement.”Quand j’étais petit, j’étais vraiment très gentil, je le suis toujours”, dit-il, mais il dit aussi qu’il était toujours prêt à se protéger.
Carrière
Jusqu’à ce qu’il obtienne sa ceinture noire, il s’est entraîné au judo. Néanmoins, il a décidé de passer à l’entraînement aux arts martiaux mixtes après avoir quitté cette discipline car celle-ci ne lui offrait pas « plusieurs options » lors des combats. Chamsoudinov prend le surnom de « Baki » en hommage au protagoniste de la série manga du même nom. Ce surnom, dit Baki, lui sera attribué par son entraîneur.
Présentation du championnat de combat dur 2019
Il a fait ses débuts professionnels en 2019 au Hard Fighting Club, où il a remporté une victoire technique au sixième tour contre Soury Medhi.
Combat à temps plein (2020-2021)
Combattant pour l’organisation 100% Fighting en 2020 et 2021, il a affronté Atilla Kobas et Onefel Mackoumbou.
Championnat des Arts de Combat ARES (2022-2023)
Il a fait ses débuts professionnels en MMA en 2022, battant Mikael Marie Sardi par décision unanime au ARES Fighting Championship. Il a également battu le combattant britannique Bobby Palett par décision unanime cette année-là. En 2022, il a entamé une relation en ligne puis en personne avec Khamzat Chimaev, un combattant de l’UFC. Ils s’encouragent mutuellement et s’entraînent même occasionnellement ensemble.
Baïssangour aide notamment Chimaev à préparer son combat contre Paulo Costa, qui a ensuite été reporté puisque Paulo Costa a été remplacé par Kamaru Usman. Il agit rapidement pour se positionner pour le championnat. La ceinture ARES des 77 kg est à gagner lors d’un combat entre Baki et l’invaincu Félix Klinkhammer (9 victoires – 0 défaite) le 17 novembre 2023, mais Baki saute la pesée 13.
Ligue de combat pour les professionnels (à partir de 2024)
La Professional Fighters League (PFL) a enfin fixé une date pour le combat très attendu entre le grand kickboxing Cédric Doumbè et leurs équipes respectives, après des mois de spéculations et d’échanges. Le combat devrait avoir lieu à l’Accor Arena le 7 mars 2024. Après son combat, Baki quittera la PFL conformément à son contrat « One Shot ».
L’énergie autour de cet événement monte en flèche ; les billets se sont vendus en moins de 15 minutes avant même que les autres combats de la soirée ne soient annoncés. Cédric Doumbè, qui aime taquiner ses adversaires pour faire monter le suspense, s’en est récemment pris à son adversaire sur les réseaux sociaux et a promis à ses partisans un huitième de finale.
Malgré le déluge d’insultes, Baki reste imperturbable et menace même d’« envoyer un vieil homme à la retraite » en réponse. La lutte a été plus serrée que tout le monde ne l’avait imaginé, même si Cédric Doumbè était largement considéré comme le grand favori. Baki a réussi plusieurs mises au sol dès le premier tour, mais son adversaire franco-camerounais a riposté et s’est relevé à chaque fois.
Doumbè prend le dessus au deuxième tour en touchant à plusieurs reprises Baïssangour et en s’abstenant de lui donner des coups de pied, lui refusant toute chance de capitaliser. Ainsi, Baki remporte le premier tour et Doumbè le second ; ils sont à égalité pour la première place avant le troisième tour. Doumbè a informé l’arbitre qu’il avait une écharde au gros orteil gauche et le combat a finalement été arrêté.
Baysangur Chamsoudinov, 22 ans, mieux connu sous le nom de « Baki », est rapidement devenu une figure incontournable de la scène des arts martiaux mixtes. Ce jeudi, il affrontera Cédric Doumbè au PFL, suite à sa victoire sur le groupe ARES. Malgré son talent, le Franco-Camerounais inspire la méfiance.
Quelle est l’origine de son surnom ?
Babi est le surnom de Baysangur Chamsoudinov. Ce surnom est dérivé de Baki Hanma, une série animée. Le grand homme qui était licencié de MMA Factory a avoué sur RMC Sport que son instructeur Fernando Lopez avait choisi ce surnom, mais qu’il l’aimait bien parce qu’il était un passionné de manga.
SON PARCOURS
Baysangur Chamsoudinov est arrivé en France très jeune, peut-être quatre ou cinq ans, en provenance d’Urus Martan (Tchétchénie). L’ascendance du Français se trouve en Tchétchénie. C’est dans la ville alsacienne de Haguenau qu’il est né et a grandi.
L’ami de Chamazhimaev
En raison de son héritage tchétchène, “Baki” a des liens avec un grand nombre d’artistes martiaux mixtes à travers le monde, dont Khamzat Chimaev, qui est désormais un de ses amis proches. Le combat de jeudi soir contre Cédric Doumbè verra également la présence de l’UFC, invaincu. combattant, qui a un record de treize victoires et zéro défaite.
SON AFFICHAGE
Le judo était le premier sport de “Baki” avant les arts martiaux mixtes. En fait, il a obtenu le rang de ceinture noire dans cet art. Il a ensuite commencé à concourir dans les arts martiaux mixtes. Baysangur Chamsoudinov était un maître de la frappe ainsi que de la lutte. et aux prises.
Son CV
“Baki” avait un bilan parfait de 7-0 dans les combats d’arts martiaux mixtes avant ses débuts au PFL.
Une confrontation épique
“Baki” s’est battu pour la dernière fois en juin 2023. Il a dominé le vétéran de l’UFC Efrain Escudero jusqu’à une victoire par TKO à l’ARES 16. Le célèbre lutteur russe Baysangur Chamsoudinov est né au Daghestan. Il est plusieurs fois champion international grâce à sa vitesse et sa force sur le tapis.
Son dévouement au sport de la lutte, en particulier à la lutte libre, lui a valu une renommée internationale. Baysangur Chamsoudinov est une source d’inspiration pour les jeunes lutteurs et tous ceux qui aspirent à suivre ses traces, sur et en dehors du tapis.
Son impact sur le monde de la lutte s’est manifesté à travers ses réalisations exceptionnelles sur le terrain, son dévouement au respect de l’éthique sportive et ses efforts humanitaires. Le légendaire Baysangur Chamsoudinov est une source d’inspiration et d’admiration pour les fans de lutte du monde entier.